Line Renaud, pour tout le monde

                                
                                                                          

                              

                  

         





                             



                       Line Renaud    


         
                                              Née le 2 juillet 1928

    à Pont-de-Nieppe, près d'Armentières, dans le Nord de la France.


                                           Le pont de Nieppe

                              




        

A la suite d'un dimanche passé en sa compagnie, lors d'une émission de Michel Drucker, il semble que la plupart des "amiesnautes" étaient d'accord pour que je fasse un article sur cette dame qui force le respect !

     Belle, souriante, malicieuse, adorable dame de 80 ans printemps !

                         Elle est, à mes yeux, l'amie idéale !

Si vous avez vu l'émission, vous avez réalisé que l'étendue de sa carrière donne le vertige ...  Elle a connu les plus grands, chanté et dansé avec eux. 

Applaudie et aimée dans le monde entier, faire un article sur cette "bien belle dame", n'est pas une mince affaire.

J'y ai mis beaucoup, mais il est claire que vu l'étendue de ses activités, il serait impossible de tout mettre dans un article, mais j'ai fait de mon mieux.

Je me suis inspirée du livre écrit par Alain-Guy Aknin et Philippe Crocq, je ne voulais pas me tromper ou omettre de lui rendre les hommages auxquels elle a droit ...
                                         

                           Belle, elle l'était.

          Belle, elle l'est restée !       


      
       


Née dans une famille modeste, sa maman autodidacte est sténo-dactylo et son papa camionneur dans une usine de textile.

Elle est d'une blondeur angélique et grattifiée d'un regard d'un bleu étincelant, ses parents la prénomme : Jacqueline.

Son papa passe les jours de la semaine sur les routes, mais les week-ends, il exerce son talent de trompettiste dans une fanfare locale. 

C'est ainsi que Jacqueline acquiert ses premières notions de musique.

A son entrée à l'école primaire, elle chante déjà joliment et se distingue en remportant un concours amateurs, à l'âge de 7 ans.

Les rumeurs d'un conflit avec l'Allemagne, s'affirment , et la guerre semble inévitable. 

Le père de Jacqueline est mobilisé, et s'absentera pendant 5 années.  Il sera, un temps, prisonnier.



      


Durant cet éloignement, ce seront trois femmes qui se chargeront de l'éducation de la petite Jacqueline : sa maman, bien sûr mais aussi sa grand-mère et son arrière-grand-mère maternelle.

Dans le café que tient sa grand-mère, à Armentières, la petite Jacqueline chante. 

Elle chante avec ce même charme qu'elle arborera sa vie durant.

Faisant ainsi la joie des soldats français ou alliés qui cantonnent dans les parages, avant de partir au combat.


                                         


La maman de Jacqueline rêve de faire une institutrice, de sa fille.


     

Mais Jacqueline a plus de dons pour l'espièglerie que pour des études approfondies.

Les rêves de Jacqueline étaient ailleurs.

Une de ses amies découpe, dans un journal local, une annonce concernant des auditions pour le Conservatoire de Lille, Jacqueline s'inscrit en "secret", ignorant que la recherche concernait des chanteurs classiques.

Mais cette erreur ne s'avèrera pas inutile !

Devant le jury, elle chante un blues très populaire écrit par Loulou Gasté : "Sainte-Madeleine", puis, à la demande des jurés, une deuxième chanson, choisissant un autre titre de Loulou Gasté : "Mon âme au diable".

Louis Gasté, est à l'époque, l'un des compositeurs à succès les plus connus.  Très jeune, il a été guitariste, et surtout le seul véritable joueur de banjo professionnel, en France.

           Engagé à 18 ans pour accompagner Joséphine Baker,


                            


il a participé, avec copains passionnés de jazz comme lui, à la création du célèbre orchestre de Ray Ventura et ses Collégiens.

Il a ensuite enregistré en duo à la guitare avec Django Reinhardt, avant de se mettre à composer.


                               

           

A l'issue des auditions, un monsieur se présente à Jacqueline.  "Je suis le directeur de Radio Lille, et nous recherchons une chanteuse" lui dit-il.

Ayant convaincu sa mère de la laisser saisir cette chance, elle interprètera sur les ondes, en prenant le pseudomyme de Jacqueline Ray, un répertoire basé sur les chansons de Loulou Gasté.

En 1945, la guerre étant enfin terminée, elle décide de tenter sa chance à Paris.  Elle décroche un premier engagement aux Folies Belleville, l'un des prestigieux music-halls de l'époque.


                                           Belleville autrefois

                               


La tête tête d'affiche du spectacle, Josette Daydé, prend en sympathie cette adolescente, et amusée par son admiration pour Loulou Gasté, propose de le lui faire rencontrer.

                         


Leur premier rendez-vous a lieu au mois de septembre.  Elle a 16 ans, il en a 37, il lui trouve du talent, et décide de devenir son Pygmalion, car il pressent en elle l'étoffe d'une vedette.

Si la voix est belle et la jeune fille mignonne, un travail de fond est cependant indispensable et Loulou Gasté explique ce qu'il lui faudra modifier pour se créer une image nouvelle et une véritable personalité d'artiste.


                                       


       

La coiffure fait un peu province, le comportement sur scène n'est ni étudié ni suffisamment affirmé et son pseudonyme manque de panache.

Peu disposée à se plier à des transformations qu'elle juge un peu radicales, elle refuse tout net, puis fini par réaliser qu'une telle chance ne se présentera peut-être plus jamais, elle finit par accepter ... d'autant plus, qu'elle n'est pas insensible au charme de Loulou.

C'est elle qui choisit de s'appeler Renaud, le nom de sa grand-mère maternelle mais c'est lui qui abrège son prénom en Line, plus original et plus doux que Jacqueline. 

Il lui impose des cours de danse et de chant.

Il modifie sa coupe de cheveux, son style vestimentaire, et insiste pour qu'elle suive un régime amaigrissant.



                                       


        



C'est à Radio Luxembourg, où elle chante dans les émissions très populaires du dimanche matin, que Line Renaud fait ses débuts nationaux.

Elle a signé un contrat avec les disque Pathé Marconi, elle enregistre "Ma Cabane au Canada", une composition de Loulou Gasté, bien évidemment, qui lui vaut de se voir attribuer le grand Prix du Disque.


                                       


Peu après, elle passe en première partie d'Yves Montant au Théâtre de L'Etoile.

                  

        


Elle enchaîne par une énorme tournée à travers l'Europe et l'Afrique et rentre pour être la vedette de l'ABC, mythique music-hall des années 50 où elle triomphe, tout en accumulant les succès discographiques avec des adaptations de chansons américaines : "Ma petite folie", "Etoile des neige" ou "Le chien dans la vitrine".

                                   

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Le chien dans la Vitrine
envoyé par poulphilippe

          


A la fin de cette année 1950 très fertile, elle épouse Loulou Gasté à la mairie du 17ème arrondissement de Paris.


                                                               


La renommée de Line Renaud se développe tant et si bien qu'on la réclame à l'étranger. 

Elle traverse la Manche et conquiert aussi l'Angleterre et le cinéma lui fait des propositions.



       


En 1951, elle tourne "Ils sont dans les vignes" de Robert Vernay.

                                    


En 1952, elle tourne "Paris chante toujours" de Pierre Montazel.
Loulou a écrit la musique des deux films.


                                      



En 1953 elle tourne "La route du bonheur" de Maurice Labro.

                        
                                       



       


En 1954, elle est à l'affiche du Moulin Rouge.  Toutes les places sont retenues pour quatre mois.

                                                                     

Un soir, le grand cominque américain, Bob Hope, est dans la salle.

Aux U.S.A. il anime, à la télévision, le Bope Hope Show, que le pays entier regarde chaque semaine, se régalant de ses mimiques et de ses mots d'esprit.

Il propose à Line Renaud de devenir sa partenaire pour cinq émissions.

                


Dès la diffusion de la première, elle est engagée pour chanter au "Waldorf Astoria" l'un des palaces de New-York.


                       La fameuse horloge dans le lobby de l'hôtel

                     



Ensuite elle est engagée au Coconut Grove de Los Angeles.

Mais ce n'est pas tout, l'Amérique s'est prise d'une réelle affection pour l'artiste française au charmant accent et à la voix un peu rauque.

Elle est invitée à participer également aux show télévisés les plus regardés : ceux de Johnny Carson (le Michel Drucker outre atlantique, de l'époque, décédé en 2005), 


                  



de Dinah Shore, 

                                            



et surtout de Dean Martin, avec qui elle enregistre en duo une chanson restée célèbre "Relaxez-vous".

                              



                                        





               




Line revient au cinéma pour tourner "La Madelon", en 1955.
Film qui lui vaut de recevoir le Prix du Prestige de la France.

                                       




              


         Ensuite, en 1956, elle tourne "Mademoiselle et son gang".

  


Ces deux films sont mis en scène par Jean Boyer et la musique écrite par Loulou Gasté.


         

En Angleterre, elle a sa propre émission de télévision hebdomadaire, "Paris-Piccadilly".

                                       

Elle chante en Espagne et au Portugal, au Canada, aux U.S.A., où elle participe au fameux "Ed Sullivan show".

                                 


Elle tourne à nouveau en France, encore sous la direction de Jean Boyer "L'increvable",

                     


ensuite "Mademoiselle et son flirt".

Elle reste à Paris pour une série de représentations enflammées au Moulin Rouge et reprend son périple à travers le monde.



        

L'un des rois du music-hall parisien, Henri Varna, lui propose en 1959, de devenir meneuse de revue du Casino de Paris.  Le spectacle intitulé "Plaisirs de Paris", tiendra l'affiche durant quatre ans.

                              


                                


C'est là que les directeurs artistiques du Dunes, l'un des plus grands casinos de Las Vegas, à l'époque, l'engagent pour un spectacle spécialement créé à son intention.

                         Prévu pour six mois, il durera deux ans.


                     


                                             





         

Rentrée à Paris, elle remonte sur scène au Casino de Paris, pour une nouvelle revue "Désirs de Paris", 


                      




mais en 1968 Las Vegas la rappelle pour une suite de spectacles, dont elle assure aussi la mise en scène et la direction artistique.




Appréciée de toutes parts, elle produit également des spectacles en Floride et présente à la télévision française l'émission "Line en direct".

En France, elle crée un show à l'américaine en 1973, qu'elle va transporter durant deux ans à travers le pays.

Puis elle "porte secours" au Casino de Paris, menacé de fermeture définitive, accomodant une revue intitulée "Paris-Line", dont la dernière, au bout de quatre ans de succès, coïncidera avec l'anniversaire de ses trente ans de carrière.

                                       


          


Nous sommes en 1980, et Line va se remettre, après cette longue halte parisienne, à franchire sens cesse l'Atlantique dans les deux sens, participant aux U.S.A. aux grands shows télévisés, produisant en France "Telle est Line" sur Antenne 2, et enregistrant des disques tant en anglais qu'en français.

Alors qu'elle vogue ainsi d'une côte à l'autre, elle se lance dans une nouvelle aventure, débutant au théâtre avec la pièce "Folle Amanda" de Barillet et Grédy, mise en scène par René Clermont.


              


       Elle démontre un réel talent de comédienne et fait un triomphe.


           


Elle ne se cantonne pas dans son univers, et, concernée par les problèmes de société, elle prend l'initiative "très importante" en 1985, de créer l'Association des Artistes contre le Sida".

                  


            Elizabeth Taylor, présente de la lutte contre le sida aux U.S.A.

                                     

C'est au cours d'un de ses nombreux voyages au U.S.A. que Line Renaud participe au gala organisé par Elizabeth Taylor, en faveur de la lutte contre le sida.
De retour en France, elle n'ose pas agir dans un premier temps, mais l'Institut Pasteur la contacte.
Line créée alors l'Association des Artistes contre le Sida (AACS).
Elle organise alors des évènements artistiques télévisés permettant de recueillir des fonds pour financer les recherches des scientifiques français.
En 1994, l'association Sidaction voit le jour et l'AACS choisi de lui offrir ses fonds.
Ajourd'hui Line Renaud est vice-présidente de Sidaction : Ensemble contre le sida, et poursuit toujours son combat.


       

En 1986, elle part jouer "Folle Amanda" en Floride, adaptée en anglais sous le titre "The incomparable Loulou" et mise en scène par Charles Nelson-Reilly.


        

Elle rentre en France pour tourner, avec Michel Galabru et Fanny Cottençon, dans le film de Roger Coggio adapté du "Mariage de Figaro".

Elle franchit avec la même vivacité, le cap de ses quarante ans de spectacle et publie un livre autobiographique " Les brumes d'où je viens".


              




              

       




         

Elle revient une nouvelle fois au Casino de Paris pour une soirée exceptionnelle où elle retrace sa carrière en chansons et en ballets.

Parmi les prestigieux invités venus lui rendre hommage ce soir-là, figurent rien moins que Gregory Peck et Tom Jones.


                           


                                 



Pourtant si la planète entière la connaît, il est un pays où elle ne s'est jamais rendue autrement que par disque interposé, faute de temps.

Le mal sera réparé lorsque les autorités du Japon décident de fêter en 1989 le Bicentenaire de la Révolution Française avec un festival de la chanson française dont elle sera la vedette.

Elle chante devant des salles archi-combles, dans les villes principales du pays.

Ce succès lui permettra, plus tard, de tourner une émissions spéciale pour la principale chaîne de télévision nippone.




        

Le cinéma la demande à nouveau, et elle tourne avec Philippe Noiret et Thierry Lhermitte, sous la direction de Claude Zidi : " Ripoux contre Ripoux".


                             



         

Puis elle repart au théâtre pour créer la pièce "Pleins Feux", au Théâtre de la Michodière, adaptée par Didier Kaminka d'après l'oeuvre de Mary Orr, puis de la reprendre au Théâtre Antoine et à travers toute la France.


 





      Théâtre de la Michodière






      Théâtre Antoine





          
          

A la télévision américaine, elle tourne "Memories of midnight" avec Jane Seymour,

                                            


et "Sands of time" avec Roddy McDowall, les deux réalisés par Michael Viner.

                               



Pour la télévision française, elle tourne "Polly West est de retour" de Nelly Kaplan, aux côtés de Michel Galabru,

                                 


et "Rendez-moi ma fille" avec Valérie Kapriski.


                                        



Elle tourne alors un film de Claire Denis : "J'ai pas sommeil" avec Béatrice Dalle, film sélectionné au Festival de Cannes dans la catégorie Un Certain Regard.


                                



Pour la télévision, elle joue "Les filles du Lido" de Jean Sagols, avec Annie Girardot et Mel Ferrer.


                                


   



Elle part ensuite au Japon, pour présider le Festival du Film Français, en 1994.

C'est aussi l'année où elle est nommée Officier de la Légion d'Honneur.



           


Début 1995, Loulou Gasté décède à leur domicile de Rueil-Malmaison, laissant à Line une blessure au coeur, et à la postérité plus d'un millier de chansons dont certaines ont été interprétées par une pléiade de stars internationales.





                                         



          



Line choisit le travail comme thérapie, en septembre, à Lyon, elle crée une nouvelle adapatation de "La visite de la vieille dame" de Friedrich Durrenmatt.

Elle reprendra ce spectacle à Paris, au Théâtre du Palais Royal.


                    


Elle tourne aussi pour la télévision "L'Embellie" avec Jean-Pierre Cassel,

                                 
  
            
                    "Sixième classique" avec Véronique Genest,

                           


        "La Voisine, "Une femme d'action", "Garance et Mélanie".


                                              La Voisine

                           


Elle tourne à nouveau au cinéma avec Thierry Lhermitte : "Ma femme me quitte" de Didier Kaminka.

          


          


Elle publie son deuxième livre "Maman", où elle exprime l'amour très profond qui la lie depuis toujours à sa mère.

                    


       


Elle tourne à nouveau pour la télévision "La grande béké" 


                                           avec Anthony Delon

                                 


                                        
                                         et "A nous deux la vie".

                                                


            


Fidèle à son engagement et à ses convictions, Line participe à la quatrième Marche Pour la Vie  organisée à Paris, dans le cadre de la lutte contre le sida.

Pour Line, ce combat est l'un des plus importants au monde, tant l'épidémie s'étend en Afrique, en Asie et dans les pays de l'Est.

Il est indispensable de continuer à recueillir des fonds pour aider la recherche, mais aussi les associations d'aide aux malades et les familles.

                        

                 




       


On la retrouve ensuite au cinéma, avec Catherine Deneuve et Vincent Lindon dans le fil de Gabriel Aghion "Belle Maman",

               



 et avec Michèle Laroque dans " Doggy Bag" de Frédéric Comtet.

                 


Pour la télévision, elle tourne "Louise et les marchés" et "La petite fille en costume marin".

                            



                            


        



En juin 1999, Simone Enté, la maman de Line s'éteint à l'âge de 94 ans, au terme d'une longue complicité et d'un long élan d'amour.  Line, encore une fois, s'investit dans le travail pour adoucir sa peine.




     



En septembre elle est à nouveau aux U.S.A. où elle participe à l'inauguration de l'hôtel de Paris Las Vegas, qui reproduit à l'échelle réduite les plus grands monuments et les quartiers les plus caractéristiques de la capitale française, à commencer par la Tour Eiffel et l'Arc de Triomphe.

                         


                                  


Elle y présente notamment des extraits de la comédie musicale "Notre Dame de Paris", dont elle a convaincu des investisseurs américains de produire une version anglaise.

Line poursuit avec opiniâtreté et toujours avec la même générosité les chemins de la vie et de la célébrité.

Elle reste dans les coeurs des citoyens du monde, l'une des artistes les plus entreprenantes et les plus aimées, car le public, partout sait retourner au centuple son affection à ceux qui lui manifestent la leur.


        


Comme je n'ai pu parler de tous les films, ni de toutes ses rencontres, je mets quelques photos mais ce n'est qu'une pâle reproduction de tout ce que "cette grande artiste" a fait tout au long de sa carrière.

Je lui rends hommage pour le passé, mais surtout pour le présent, elle continue de nous enchanter et son sourire magnifique ainsi que sa grande gentillesse font, qu'on ne peut que l'aimer.  Et souhaiter qu'elle reste encore de très nombreuses années avec nous.  La vie lui a offert beaucoup, mais elle a su rendre ...

Sa maman, toujours à ses côtés, jusqu'à sa disparition.

Il y a eu aussi, un de ces miracles de la vie, cette merveilleuse amitié qui la lie à Muriel Robin  ...  sentiment merveilleux, rempli d'amour, de respect mutuel, de don de soi ...  Tant qu'il y a de la "vie" tout est possible et à tout âge.  Une seule rencontre, féminine ou masculien peut "tout changer" dans une vie.  Et généralement, au moment où on s'y attend le moins.  Je dis ça pour toutes nos amiesnautes dans la détresse morale.  Souriez comme Line, je vous l'ai déjà répété souvent, la vie vous sourira.

Il y a aussi les ch'tis, qui peut oublier le rôle de la maman de Dany Boon, qu'elle interprète de manière magistrale !  Il n'y avait qu'elle, elle et uniquement LINE, pour interpréter ce rôle et je pense que Dany Boon l'a bien ressentit.

Vous forcez mon admiration, Madame, et probablement celle de toutes les personnes qui liront ceci.

Je vous prie de bien vouloir excuser le fait que cet article ne soit pas complet, il faudrait plusieurs livres pour vous honorer tel qu'il se doit.

Merci pour tout ce que vous nous avez donné comme joie, merci pour ce que vous nous donner encore, et d'avance merci pour tout ce que vous nous préparer encore !


           
         
               Pendant la fête organisée pour ses 80 printemps,
                                            avec Madame Chirac

                                              


                                              Avec Michel Drucker

                                   


                                                     Avec Jack Lang

                                  


                           Toujours militante pour "la bonne cause"

                                         



                        Ici avec André Dussolier lors de l'inauguration
                                                de la place Loulou Gasté

                                        


             Séance de signature de livre dans une librairie de Lille,
                                               après la sortie des Ch'tis

                                              


                            Avec Dany Boon, toujours ce regard coquin ...

                                        


                                                           Avec "sa Mumu"

                                        



                         Félicitant Steven Spielberg, qui vient d'ête décoré,
                                    par le gouvernement français de Chirac.

                                         



                                            Là on retourne dans le passé,
                                          avec un de ses grand succès ...

                                           


                                Avec Elvis Presley et Edward G. Robinson

                                               


Avec Sacha Distel et Johnny Hallyday, dont elle est d'ailleurs la marraîne de spectacle, c'est Line qui lui a mit le pied à l'étrier.

                                      


                                             Et puis, avec le "LOULOU"

                                             

Publié dans PEOPLE